Cette année, comme chaque année depuis que j’ai été élu pour la première fois comme député en 2014, mon bureau de circonscription a accueilli des étudiantes et étudiants en travail social de l’Université St. Thomas pour effectuer leur stage d’action sociale. Comme toujours, un excellent travail a été produit, ce qui me sera utile en tant que défenseur des habitants de ma circonscription.
Au cours du trimestre d’hiver, les étudiants ont fait des recherches sur les logements non marchands, notamment les coopératives d’habitation. Alors que la crise du logement fait rage autour de nous et que de plus en plus de gens trouvent leur situation de logement précaire, nous avons voulu examiner les logements non marchands et les coopératives d’habitation comme des solutions sous-utilisées et inexploitées.
Le logement coopératif, en particulier, est une solution de logement sûre et stable pour tout le monde, pas seulement pour les personnes vulnérables. Les résidents des coopératives sont des copropriétaires, et non de simples locataires, et à ce titre, ils ont le pouvoir d’influer sur les décisions relatives à leur loyer et à leurs conditions de vie. Par conséquent, les loyers des coopératives ont tendance à rester plus stables et plus bas que les loyers du marché. En cette période de hausse vertigineuse des loyers, parfois de plus de 50 %, ce type de logement fait cruellement défaut.
Consultez le travail des étudiants sur la coopérative NB Media et cette infographie conviviale.